28 décembre 1948 : Naissance, à Chinon, de l’auteur et compositeur français Jean-Marie MOREAU. Pour en savoir plus sur la biographie de cette personnalité, veuillez CLIQUER ICI.
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28 décembre 1951 : Naissance, à Paris, du chanteur français Gilbert MONTAGNE. Prématuré, il est victime d’une rétinopathie en couveuse et est désormais aveugle. A l’âge de cinq ans, alors qu’il est placé dans un établissement spécialisé pour les jeunes non-voyants, il apprend la musique qui lui est enseignée de manière rigoureuse. Mais c’est sur le piano qu’il se procure par la suite qu’il développe vraiment sa passion pour une musique différente faite de jazz et de rock. A l’âge de seize ans, il se destine à être chanteur et passe des auditions dans ce sens. L’une d’entre elles l’amène à enregistrer un 45-tours chez Philips sous le pseudonyme de Lor Thomas. Et, malgré la chance d’interpréter une chanson signée Pierre Delanoë, l’essai n’est pas concluant. Gilbert décide alors de changer d’air et de retrouver sa soeur qui enseigne le français en Floride. Il entreprend des études musicales classiques à l’université de Miami. C’est le début des années 1970 et, pour payer ses études, Gilbert joue du jazz et de la soul dans les clubs américains. En 1971, Salvatore Adamo le remarque et pense qu’il y a de la place pour ce type d’artiste en France. Il le convainc à revenir en Europe et lui produit un 33-tours que Gilbert enregistre, presque totalement en anglais, à Londres. Il y a un titre qui va devenir un « tube » international sur cet album: « The fool ». Et Gilbert Montagné est propulsé en quelques semaines au rang de vedette. Il a les faveurs de la télé française et se retrouve très vite sur la scène de l’Olympia de Paris en première partie de Julien Clerc. Quelques mois plus tard, il est sollicité pour enregistrer un second « long playing » qu’il va interpréter en français cette fois avec un nouveau tube: « Elle chantait ma vie en musique », adaptation française de « Killing me softly » de Roberta Flack.
Le troisième album, qui est commercialisé en 1976, est celui de trop. Gilbert est en effet épuisé et il s’enfuit aux Etats-Unis et au Canada pour se recentrer sur l’essentiel: jouer de la musique de manière anonyme. Il faut alors attendre 1979 pour revoir Gilbert Montagné en France: à l’invitation de Johnny Hallyday, il vient l’accompagner au piano sur la scène du Palais des Sports de Paris pour une évocation du rock and roll. Cela suffit à le faire revenir dans le circuit du show-business français et, en 1980, il sort un 45-tours qui connaît à nouveau le succès: « Believe in me ». A ce moment, le chanteur songe déjà à de nouvelles chansons en français dont il prépare l’écriture avec Didier Barbelivien et une nouvelle équipe italienne. En 1984, Gilbert Montagné revient au premier plan et sort l’album intitulé « Liberté » sur lequel se trouvent des succès désormais légendaires: « On va s’aimer » et « Les sunlights des tropiques ».
Il revient cette fois en vedette sur la scène parisienne de l’Olympia en 1985 et 1986. Les albums à succès vont alors se succéder avant que Gilbert ne parte vivre au Canada en 1990. Depuis cette époque, les grands succès discographiques de Gilbert Montagné se sont raréfiés. Mais l’artiste est de ceux qui resteront dans la légende: celle des fameuses années 1980 dont tant de nostalgiques regrettent l’ambiance musicale. Admirateur de Gilbert Bécaud depuis très longtemps, l’artiste rend hommage à « Monsieur 1000.000 volts » en 2016 lors de l’enregistrement d’un album hommage intitulé « Gilbert chante Bécaud ». En 2018, un an avant la sortie d’un album live enregistré en 2017, il commercialise un single avec une chanson intitulée « La niña ». Lors du confinement dû à la crise du coronavirus covid-19 en avril 2020, sur un texte de Didier Barbelivien, l’artiste compose la chanson « Si vous nous aidez » pour soutenir le personnel soignant des hôpitaux.
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28 décembre 1953 : Naissance, Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, du chanteur français Bernard MINET sous le nom de Bernard Wantier. Enfant, il apprend à jouer de la batterie et, à quinze ans, il joue de cet instrument dans divers groupes de bals de sa région natale. En 1970, il décide de partir à Paris où il s’inscrit au conservatoire national de musique. Et, quatre ans plus tard, il obtient le premier prix de percussions. Et il s’oriente clairement vers la profession de batteur professionnel. Il le devient en accompagnant, sur scène, des artistes tels que Charles Aznavour, Sheila, Alain Chamfort ou Nicole Croisille notamment. Dans le même temps, il se consacre aussi à la réalisation de bandes sonores pour des films et des pubs. En 1983, il fait la rencontre de la jeune chanteuse Dorothée qui vient d’enregistrer ses premiers disques après avoir entamé une belle carrière de présentatrice à la télévision française. Et il devient immédiatement l’un de ses musiciens attitrés. Quatre ans plus tard, alors que les émissions télévisées du « Club Dorothée » obtiennent un succès grandissant auprès des enfants, il devient chanteur et interprète une série impressionnante de génériques des dessins animés diffusés dans le programme. Il y a, notamment, « Juliette je t’aime », « Goldorak », « Les chevaliers du zodiaque », « Dragon Ball » et, aussi, « Bioman ».
A la fin de l’année 1989, Bernard Minet effectue ses premiers pas de comédien dans la sitcom à succès « Salut les Musclés » puis dans « La Croisière Foll’amour ». Avec ses collègues « Musclés », il enregistre une chanson qui devient un énorme « tube » : « La fête au village ». Il se pique au jeu du chanteur à succès et il enregistre cette fois des disques en solo. Ecrites et composées par l’équipe de Dorothée, à savoir Jean-François Porry et Gérard Salesses, certaines chansons vont le hisser au sommet du top 50 français comme « Changer tout ça » en 1992. Lorsque l’aventure télévisuelle du « Club Dorothée » s’achève en 1997, Bernard Minet enregistre encore des génériques de dessins animés. Il se lance aussi dans des prestations scéniques qu’il effectue principalement dans des discothèques à partir de l’an 2000. En 2007, il retrouve les « Musclés » pour l’enregistrement d’un nouveau titre : « Nicolas et Ségolène », une allusion parodique de la chanson de Dorothée « Nicolas et Marjolaine » qui vise les candidats à la présidence française Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. En 2015, il relate des anecdotes autobiographiques dans le livre « Ma vie de folie » dont la préface est écrite par Dorothée. Depuis, Bernard Minet poursuit sa route d’artiste à travers les pays francophones européens pour rencontrer tous ceux qui ont gardé un coeur d’enfant et de merveilleux souvenirs du Club Dorothée. En 2018, une compilation d’une grande partie de ses enregistrements (génériques et chansons) a été éditée en un coffret de trois CD (Bernard Minet : L’essentiel). On y trouve notamment et aussi la chanson « Hommage au Club Do’ », une composition de l’artiste enregistrée en 2017.
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28 décembre 1965 : Naissance, à Tunis, du chanteur français d’origine tunisienne Dany BRILLANT sous le vrai nom de Daniel Cohen. Ses parents quittent Tunis en 1966 pour la France et Sainte-Geneviève-des-Bois où Dany est bercé par les musiques qu’écoute son père: salsa, jazz, bel canto et chanson. L’année 1977 est marquée par un nouveau déménagement puisque le père de Dany ouvre une épicerie à Paris. En 1980, il reçoit une guitare en cadeau de son grand-père. Cet instrument, sur lequel il va apprendre à jouer seul, va radicalement changer sa vie. Il est alors un adolescent plutôt calme et solitaire qui écoute aussi bien Aznavour et Reggiani que Le Forestier, Léonard Cohen ou Frank Sinatra. Il s’intéresse aussi à la poésie et à la philosophie. Après avoir obtenu son bac scientifique, il suit l’avis de ses parents et entame des études de médecine. Mais, pendant ces études, il découvre les cabarets parisiens de la rive gauche et ses chanteurs. Il débauche alors un voisin musicien pour qu’il l’accompagne au saxophone dans les chansons qu’il interprète aux terrasses du Quartier Latin à Paris. Un patron de cabaret, celui des Trois Maillets, qui s’appelle Jacques Boni, le remarque et l’engage à l’essai pour une semaine. Mais Dany s’y produit finalement pendant cinq ans et y trouve son pseudonyme de Brillant. Le chanteur y propose chaque soir des reprises mais il commence aussi à peaufiner ses propres textes et compositions. En 1985, il n’est plus question pour lui de devenir médecin. Non seulement, il pratique la musique mais il envisage maintenant de devenir acteur en s’inscrivant au cours Florent. Il y est remarqué par l’assistant de Francis Huster et il tourne une scène du film que ce dernier est en train de réaliser: « On a volé Charlie Spencer ». Le rôle de Suzette y est tenu par Béatrice Dalle et, à la demande de Francis Huster, Dany interprète la chanson qu’il vient de composer pour le personnage: « Suzette ». Lors de la sortie en salles du film, Dany Brillant se rend compte avec désolation que la scène qu’il a tournée avec la chanson a été supprimée au montage final. Un peu déçu par cette expérience, le jeune artiste revient à la chanson et se produit à nouveau dans les cabarets où il interprète « Suzette » qui récolte un beau succès en 1986. Il travaille alors d’autres mélodies et compose des titres comme « Viens à Saint-Germain ». En 1990, un ami qui croit en lui lui propose de rencontrer un responsable de la firme de disques Warner. Dany s’exécute et se voit proposer un contrat pour l’enregistrement de trois albums. Il entame la réalisation du premier opus en 1991 avec cinq musiciens dans un cabaret. L’ambiance qui s’en dégage est celle des grands soirs de Saint Germain-Prés et ça tombe bien parce que les dix chansons qu’il a composées rendent hommage à cette époque. Et, bien entendu, le premier extrait de l’album qui est envoyé aux medias en 1992 est « Suzette » qui est, immédiatement, un grand succès.
Malgré cette popularité discographique soudaine, le chanteur continue à se produire aux Trois Maillets et deux autres titres confirment sa gloire: « Y’a qu’les filles qui m’intéressent » et « Viens à Saint-Germain ». Les choses sérieuses commencent avec le deuxième album. Dany Brillant est attendu au tournant: il faut qu’il confirme le statut qu’il est en train d’obtenir au sein de la chanson d’expression française. Tout en changeant d’orientation musicale, le chanteur veut rester dans la lignée des chansons qui l’ont fait connaître et il se tourne vers des rythmes latinos avec un big band. En 1994 sort ainsi l’album intitulé « C’est toi ». Il est suivi d’une grande tournée française et de ses premiers pas sur les scènes parisiennes de l’Olympia et du Casino. Pour le troisième opus, le dernier du contrat signé chez Warner, Dany Brillant retrouve une formation musicale plus restreinte qui va lui permettre de s’attarder sur la musique cubaine qui berce son coeur depuis longtemps. Du coup, l’artiste part à La Havane pour composer et enregistrer l’album simplement intitulé « Havana ». En quelques semaines de vente, l’album est disque de platine avec des chansons comme « Quand je vois tes yeux », Dis-moi » ou « Une fille comme ça ». Le chanteur se produit au Printemps de Bourges en avril 1997. L’artiste est désormais bien installé et est convoîté par plusieurs firmes de disques. Il signe la sortie de l’album suivant chez Columbia et il part cette fois à Londres pour y travailler « Nouveau jour ». Les chansons y recèlent une touche plus rock et présentent des textes plus mûrs où il est question du show-business mais aussi des intégrismes ou de la manipulation entre autres. Les principaux titres sont « Toi et moi », « Garde la danse », « Quand je s’rai beau » ou « Dieu ».
En 1999, Dany Brillant assure la première partie du show de Céline Dion au Stade de France à Saint-Denis en banlieue parisienne. Deux ans plus tard, le CD « Dolce Vita » est dans les bacs et l’interprète s’attaque cette fois au répertoire italien. Il reprend ainsi une série de mélodies qui lui rappellent, notamment, celles qui ont bercé les vacances de son enfance: « Tu vuo’ fa l’Americano », « Dans les rues de Rome » ou « Tant qu’il y aura des femmes ». Le tout est enregistré à Rome et à Paris sous la direction artistique de Mick Lanaro qui, dix ans plus tôt, a donné la consécration à Patrick Bruel et son album « Alors regarde ». Après Saint-Germain, Cuba, Londres et Rome, le lieu d’enregistrement, en 2003, de l’album suivant est logique pour Dany Brillant: ce sera La Nouvelle-Orléans et un détour par le jazz musical avec big band cette fois. Et pas n’importe quel orchestre puisqu’il est constitué des musiciens d’Harry Connick Junior avec lesquels il reprend notamment le standard « Fly me to the moon ». La tournée qui suit, où tous les succès de l’artiste sont revisités par le big band, donne lieu à l’enregistrement d’un CD et d’un DVD live. Avec l’opus « Histoire d’un amour » qui est commercialisé en 2006, ce sont les rythmes latinos qui enrobent les tangos, mambos et autres bossas enregistrés par Dany. Il raconte avec plaisir à cette occasion que la chanson « Histoire d’un amour » dans la version de Dalida n’est certainement pas étrangère à son existence puisque c’est sur cette mélodie que ses parents se sont rencontrés. La tournée de concerts qui suit est festive puisqu’elle permet au public de danser partout où elle passe.
Après l’album « Puerto Rico » en 2009, Dany Brillant se consacre quelques mois au théâtre et au cinéma. Puis, il revient à la chanson par une participation remarquée à l’album « Gentleman forever » en 2013 aux côtés de Roch Voisine et de Damien Sargues notamment. Fin 2014, l’artiste commercialise un nouvel opus consacré cette fois aux grands slows d’autrefois (« Le dernier romantique ») et espère ainsi surfer sur une certaine nostalgie perdue. En 2017, toujours à la recherche d’une thématique nouvelle pour chacun de ses albums, c’est cette fois « Rock and Swing » qui est le titre générique de son disque. L’un des artistes préférés de Dany Brillant, Charles Aznavour, décède en 2018 et le chanteur se doit de lui rendre hommage de la plus belle des manières : en octobre 2020, il commercialise un album avec un choix de treize chansons dont le titre principal est « La Bohème » que Dany propose dans une version salsa qu’il affectionne particulièrement. Un an plus tard, une nouvelle édition de ce disque, enrichie de nouveaux enregistrements et de duos divers, est mise en vente.
En 2024, l’artiste met en vente un nouvel opus enregistré sur le mode musical des années 1970 avec des mélodies presque toutes originales : « Seventies ».
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28 décembre 1999 : Naissance, à Saint-Nazaire, de l’auteure-compositrice-interprète française Zaho de SAGAZAN sous le nom complet de Zaho-Agathe Le Moniès de Sagazan. Elle est la fille d’un peintre et sculpteur, sa mère est institutrice. Elle est la cousine de la metteuse en scène Lorraine de Sagazan. La première discipline artistique à intéresser la petite fille est la danse qu’elle pratique de manière intensive. Avec, en poche, son bac scientifique, Zaho part à Nantes pour suivre des cours en gestion d’entreprises et administrations. Elle décroche un boulot dans une résidence pour personnes âgées avant de se consacrer pleinement à la chanson. Elle réalise ainsi de nombreuses vidéos dans lesquelles elle interprète à sa manière des chansons d’autres artistes et qu’elle poste sur le web et les réseaux sociaux. Encouragée par le succès, elle essaie aussi, à l’occasion, quelques compositions personnelles. Elle franchit le pas de la scène en interprétant « La bonne étoile » de -M- devant le public du théâtre Simone Veil à Saint-Nazaire en 2016. Les vidéos de ses chansons sur internet commencent à intéresser un public de plus en plus large ainsi que des professionnels qui la remarquent. Après la période de la pandémie du covid-19, les festivals qui se consacrent aux découvertes lui ouvrent leurs portes en 2021 : Printemps de Bourges, Nuits de Fourvière à Lyon ou encore les Francofolies de La Rochelle où elle bénéficie d’une résidence pour affiner son comportement scénique. La même année, elle se produit en première partie d’Hervé à l’Olympia de Paris. Toujours en apprentissage, la chanteuse bénéficie à nouveau d’une résidence en 2022 : elle occupe ainsi la scène de l’Aire Libre pendant cinq jours aux Trans Musicales de Rennes. Artiste de scène et du web, il manque alors un album à Zaho de Sagazan pour lui permettre d’obtenir d’éventuels diffusions radiophoniques et, surtout, un auditoire plus vaste. Elle se met alors à y travailler et, en mars 2023, l’opus ayant comme titre « La symphonie des éclairs » est mis en vente. Le succès, porté par plusieurs singles sortis précédemment, est très important. Cela amène l’artiste à être nommée dans cinq catégories lors de la 39e cérémonie des Victoires de la musique en février 2024. Elle en remporte quatre : meilleure chanson originale, meilleur album, révélation scène et révélation féminine.
Le style musical de Zaho de Sagazan trouve ses influences du côté de la musique électronique des années 1980 mais aussi chez Jacques Brel et Barbara. Sur scène, elle propose, en 2024, un concert qui reflète ses différentes influences : commencé de manière très douce, il se termine de manière inattendue par une sorte de techno parade teintée d’électro et de dance music.
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28 décembre 2016 : Décès, à Paris, de l’auteur-compositeur-interprète, acteur et producteur français Pierre BAROUH. Admis à l’hôpital Cochin de Paris quelques jours auparavant, l’artiste français de 82 ans a été victime d’un infarctus. Pour en savoir plus sur la vie de cet artiste et connaître sa biographie, veuillez CLIQUER ICI.
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28 décembre 2022 : Décès, à l’hôpital de Gisors (en Normandie), de la chanteuse portugaise Linda DE SUZA. Agée de 74 ans, l’artiste est morte des suites d’une insuffisance respiratoire due au coronavirus covid-19. Pour en savoir plus sur le parcours professionnel et la vie de cette personnalité, veuillez CLIQUER ICI.
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